Jean-Michel Jacquemin-Raffestin

« On peut tromper tout le monde pendant un certain temps et certains pour toujours, mais on ne peut pas tromper tout le monde éternellement. » Abraham Lincoln

Ces fameux mensonges d'Etat : Tchernobyl - Чорнобиль – Chornobyl   Czarnobyla - Tschernobyl – Ciernobil – Чернобыль  –  Chernobyl

Fukushima - 福島 - Фукусима - Fukishima

A présent la Covid-19, le graphène, la protéine Spike et les effets secondaires

 « Une erreur n’est pas une vérité parce qu’elle est partagée par beaucoup de gens. Tout comme une vérité n’est pas fausse parce qu’elle est émise par un seul individu. » Gandhi

FUKUSHIMA Tremblements & Stupeur

Expiré

 

Fukushima PROJET 3D

FUKUSHIMA

TREMBLEMENTS & STUPEUR

Le 11/3, c’est ainsi que les Japonais appellent désormais la catastrophe de Fukushima, ce nom qu’ils ne veulent plus entendre. C’est le 11 mars  2011 à 14 heures 46 min 23 sec, heure locale, que le Japon a vécu son plus terrible tremblement de terre de magnitude 9 sur l’échelle de Richter. Ce tremblement de terre qui va déjà endommager la centrale nucléaire de Fukushima Dai-Ishi provoque un tsunami avec une vague haute de plus de 30 mètres à certains endroits qui va ravager 600 km de côte, pénétrant jusqu’à 10 kilomètres à l’intérieur des terres. Ce tsunami a provoqué la plus grande catastrophe nucléaire civile de tous les temps. Plus grave que Tchernobyl, elle sera classée 7 sur l’échelle de INES.

La centrale de Fukushima Dai-Ishi se retrouve au cœur du désastre, privée d’électricité, il n’y a plus de refroidissement des cœurs de réacteur. Le cœur des réacteurs 1, 2 et 3 fondent et le corium perce les cuves de protection, tous les produits radioactifs volatils s’échappent. La population est d’abord évacuée sur 10 km, puis le lendemain sur 30 km. Les enseignements de Tchernobyl n’ont servi à rien. Il ne faut pas paniquer la population.

La mentalité japonaise fait qu’un tel accident était impossible, donc rien n’est prévu, les employés comme les cadres ne prennent pas les bonnes décisions parce qu’ils ne sont pas informés de ce qu’ils doivent faire. Plusieurs bâtiments explosent dans les jours suivants. La radioactivité se répand dans l’air et dans l’eau qui se déverse dans l’océan Pacifique régulièrement. Chaque semaine de nouveaux problèmes techniques, de nouvelles fuites montrent que rien n’est maitrisé.

Aujourd’hui, 10 ans après, il y a une très forte contamination des sols, des plantes, du riz, des animaux, au sol comme dans l’océan Pacifique, même en Californie les thons sont contaminés. Normal, on trouve encore de l’iode 131 radioactif dans les boues d’épuration alors que sa période de vie est de 8 jours. Il aurait dû disparaître après 10 semaines.

A présent, afin que l’Etat cesse de payer des compensations, les populations déplacées doivent revenir vivre sur des terres fortement contaminées. Des milliers de cancers de la thyroïde sont détectés chez les enfants, enfin reconnus par les autorités.

Le Japon a dû fermer tous ses réacteurs nucléaires dont un certain nombre ne seront jamais remis en fonction. Toutefois, il a été décidé de redémarrer le réacteur n°1 de la centrale de Sendai le jour anniversaire de Hiroshima en août 2015. Le n°2 a été redémarré le 15 octobre 2015, d’autres ont suivi, 9 ont redémarré à ce jour.

Préface de Corinne LEPAGE

L’ouvrage de Jean-Michel Jacquemin-Raffestin arrive à point nommé. En effet, le lourd silence est retombé sur Fukushima peut-être plus encore qu’il n’enveloppe Tchernobyl. Peut-être parce que les retombées radioactives ont paru moindres dans le cas de Fukushima que dans celui de Tchernobyl, que la pollution des océans ne se voit pas et que le nuage à l’évidence été plus modeste que celui de son prédécesseur.

Il n’en demeure pas moins que les mêmes causes produisent les mêmes effets et que le lobby nucléaire à œuvrer pour  Fukushima comme il l’avait fait pour Tchernobyl en organisant le silence et surtout l’absence d’études sérieuses et contradictoires sur l’impact réel en terme sanitaire et environnemental de la catastrophe. Alors que 30 ans nous séparent de l’explosion de Tchernobyl, il n’y a toujours aucun consensus sur l’étendue de la catastrophe sanitaire, entre les 20 morts reconnus par certains dont le professeur Tubiana et les centaines de milliers de morts évoqués par des études sur les liquidateurs. Au-delà des morts, les victimes physiques et psychiques se comptent, elles, en millions comme l’a reconnu l’ancien secrétaire général des Nations unies. En fait, tout a été organisé pour permettre « la méconnaissance scientifique », ce qui permet aux défenseurs du nucléaire de continuer à soutenir qu’il s’agit d’une énergie sans danger.

Pourtant, dans le même temps, la première cartographie mondiale du taux de radioactivité naturelle et artificielle supportée par les habitants des différents pays du monde a été rendue publique. Elle met en évidence l’excès de radioactivité en France, en Russie et sur la côte est des États-Unis. Cet été, le centre international de recherche sur le cancer , dans une étude publiée le 21 juin dans la revue The Lancet Haematology, montre que l’exposition prolongée à de faibles doses de radioactivité accroît le risque de décès par leucémie chez les travailleurs du nucléaire. Malheureusement, nous ne disposons d’aucune étude  correspondante et reconnue par la communauté scientifique nucléaire sur les populations vivant au voisinage de Tchernobyl et de Fukushima. Pourtant, les enfants d’aujourd’hui d’Ivankov, premier bourg situé au-delà de la zone interdite de Tchernobyl dans leur immense majorité considérés comme des victimes de Tchernobyl.

En s’attaquant sans aucun tabou à ce sujet majeur, qu’il avait déjà traité à propos de l’impact du nuage de Tchernobyl sur la France, Jean-Michel Jacquemin-Raffestin fait un travail indispensable pour que la vérité sur les conséquences des accidents nucléaires soit connue. Car les victimes le sont doublement : d’une part, dans leur chair, d’autre part dans le refus qui leur est fait de les considérer comme des victimes.

Il est essentiel que le débat puisse être enfin ouvert sur les conséquences sanitaires de Fukushima et poursuivi sur celles de Tchernobyl sans parler de  Kychtym en 1957dans le complexe nucléaire Mayak A l’heure où le monde s’interroge sur ses choix énergétiques pour sortir de l’économie carbonée et où le lobby nucléaire essaye de peser pour inclure l’énergie nucléaire dans les énergies des carbonées qui seraient assimilables à des énergies renouvelables, ce qui est évidemment tout à fait faux, il est indispensable de rappeler les conséquences sanitaires liées aux accidents nucléaires et par voie de conséquence les risques insupportables auquel cette énergie expose les humains pour des générations et des générations.

                                                                                                          Corinne LEPAGE

Cachez ce nuage que je ne saurais voir

Expiré

TCHERNOBYL

Cachez ce nuage que je ne saurais voir...

Préface Professeur Dominique Belpomme

 

Le printemps 2006 rappelle à notre mémoire le tragique accident de Tchernobyl (26 avril 1986) et invite les Français à s’interroger sur le nombre croissant de cancers inexpliqués qui touchent, dorénavant, des familles de plus en plus nombreuses. Entre ces deux perspectives, se glisse le nuage sombre radioactif ayant glissé sur la France et qui, contrairement aux informations de l’époque, ne s’arrêta pas aux frontières d’une ligne Maginot de l’écosystème, protégeant notre territoire…

Jean-Michel Jacquemin-Raffestin, expert en la matière et auteur de trois ouvrages à succès sur le sujet, mène l’enquête depuis plus de dix ans sur "l’affaire Tchernobyl " et ses conséquences dans les domaines sanitaires et écologiques, touchant notre pays, des brumes du Nord au soleil de l’île de Beauté.

Le plutonium aux portes de Paris… Le césium nappant les vallons d’Alsace, le massif des Vosges, le maquis de Corse, les vrais chiffres des retombées nucléaires, la désinformation des médias, les disparitions des rapports, les falsifications des commissions d’enquêtes, les conséquences réelles de la contamination de l’air, de l’eau, de la faune et des végétaux, ne sont que quelques pièces maîtresses de cet inventaire dressé par l’auteur de cet ouvrage. Une partie de ces informations, données au Congrès de Madrid en septembre 1986, ne surent pas franchir la frontière des médias français de l’époque.

Un livre courageux, palpitant, documents rares ou inédits à l’appui, nourri d’une étude quasi exhaustive des conséquences de ce génocide de la vérité, qui, tel un tsunami, renverse les mensonges de la raison d’état, soucieux de témoigner, pour que la démocratie s’incarne réellement dans l’information.

 

Editions Guy TREDANIEL Avril 2006.

 

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Ne leur pardonnez pas ! Il savent très bien ce qu'ils font !

Expiré

 

COUVERTUREC'est une envie de traverser la rue et de montrer que ceux qui ne sont rien peuvent également, comme le dit si bien notre Président, « emmerder » le monde – affectueusement, bien sûr – qui a décidé l'auteur à enquêter sur ce qu'on pourrait qualifier de « plandémie » aux conséquences proprement effrayantes !

En fouillant sur les sites gouvernementaux de la Santé américains, anglais, israéliens, français et ailleurs en Europe, Jean-Michel Jacquemin-Raffestin y a découvert pléthore de documents qui l'ont incité à approfondir le sujet auprès de scientifiques, épidémiologistes, biologistes, généticiens, cancérologues mondialement connus : tous sont unanimes sur les répercussions d'injections expérimentales proposées – imposées ? – de toute part.

Dès le premier trimestre 2021, alors que ces injections avaient commencé, on a assisté à une envolée spectaculaire des décès. Aux États-Unis, les sociétés d'assurances ont fait état d'une augmentation de 40 à 45 % des décès chez les 18-64 ans. Le 2e semestre 2021 y a fait plus de morts chez les 20-40 ans que la guerre du Vietnam en 20 ans. Les 2820 fausses couches mortelles survenues en 11 mois dans ce pays après une injection contre le Covid 19 laissent loin derrière elles les 2225 épisodes équivalents ayant eu lieu sur plus de 30 années, tous vaccins confondus.

L'augmentation des péricardites et autres myocardites chez de jeunes hommes atteint des niveaux encore jamais vus, tout comme on n'avait pas encore assisté à une telle hécatombes d'arrêts cardiaques sur le terrain chez des sportifs, footballeurs et rugbymen entre bien d'autres, jusqu'à voir des jeunes de 15 ou 17 ans s'écrouler en plein effort. Le Sud-Est de la France affichant à lui seul un accroissement de 30 à 35 % de décès pour 2021, ce sont plus de 4 millions d'effets secondaires post- injection qu'on a constatés en Europe, de même que des dizaines de milliers de morts « officielles »... À côté de cela, un industriel de l'alimentation retire une marque de pizzas du marché suite à la mort de deux enfants : mais quelle est donc la raison d'une aussi glaçante différence ?

Jean-Michel Jacquemin-Raffestin est connu pour ses ouvrages concernant les catastrophes sanitaires de Tchernobyl et de Fukushima ; il se définit comme passionné des mensonges d’État.

www.editionsnouvelleterre.com

 

PREFACE

 

LoMARTINE WONNERrsque l’on est journaliste, passionné, rigoureux, expert de Tchernobyl et Fukushima, nul doute que la recherche de vérité est un objectif permanent qui puise dans l’éthique personnelle et professionnelle.

Alors quand en mars 2020, l’espace-temps s’est figé dans un immobilisme imposé par l’état, l’environnement était propice à un éveil immédiat du curieux en quête de compréhension d’une situation hors norme et totalement surréaliste : la pandémie mondiale Covid 19 !

C’est ce chemin qu’a parcouru l’auteur, Monsieur Jacquemin-Raffestin, avec la minutie qui le caractérise pour éclairer les « endormis », stimuler leur sens critique en éloignant la peur si bien instrumentalisée par les cabinets de conseil choisis par le président français.

Nul besoin d’être médecin pour lister les incohérences permanentes distillées dans les discours successifs et juxtaposés, ministériels, présidentiel et journalistiques, organisant des injonctions paradoxales basées sur des techniques d’ingénierie sociale déstabilisatrices et parfaitement huilées.

Nul besoin d’être infectiologue pour comprendre que décourager les citoyens malades d’aller consulter leurs médecins et leur suggérer, à grand renfort de communication de rester chez eux en attendant les signes majeurs de décompensation respiratoire, allait à l’encontre du bon sens et de pratique de soins de qualité.

Nul besoin d’être juriste pour s’étonner des mesures liberticides et répressives mises en place depuis deux ans, alors que l’hôpital public se meurt faute de moyens humains et de financement à la hauteur des besoins...de l’épidémie !

Nul besoin d’être avocat spécialisé en droit du travail pour dénoncer le sort des plus de 15000 professionnels condamnés, par la Loi du 5 août 2021, à une mort sociale, sans aucun revenu.
Cet ouvrage très documenté et sourcé ne laisse rien au hasard et se fait une place de choix parmi l’innombrable production sur le sujet Covid.

De l’origine chinoise à la stratégie mondiale de l’injection sans fin, l’approche est sous tendue par cette envie de démontrer étape par étape que la bienveillance n’est pas ce qui a guidé les gouvernements ; les preuves sont là à chaque page, factuelles.

Que les citoyens cessent de croire les déclarations des scientifiques bardés de conflits d’intérêt ou de sociétés privées maintes fois condamnées

Qu’ils cessent de se laisser tromper par des « journalistes » qui ont oublié la charte de Munich et des médecins infidèles à leur serment d’Hippocrate.

Que le lecteur se laisse guider par contre à chaque ligne en confiance, il reprendra peut- être enfin sa destinée en mains.


Il est temps, avant qu’il ne soit trop tard.

Martine Wonner

Médecin psychiatre, Femme politique

Présidente d’ENSEMBLE POUR LES LIBERTES

Les silences de Tchernobyl

Expiré

 

LES SILENCES DE TCHERNOBYL

L’avenir contaminé

 

Huit à neuf millions de personnes vivent, et vivrons longtemps encore, dans les territoires contaminés d’Ukraine, de Russie et de Biélorussie. Cette catastrophe nucléaire majeure, le plus grand "accident" industriel dans l’histoire de l’humanité, a produit peu d’expression artistique, à l’exception notable de "La Supplication" de Svetlana Alexievitch, et ses héros, les liquidateurs, sont restés anonymes, oubliées. Mais cet évènement n’a pas disparu pour autant de la m?moire, ni du quotidien des populations dont il a littéralement changé le monde. Comment vingt ans plus tard, repenser la tragédie dont les conséquences furent dès le début occultées et minimisées, sur place et en occident ?

Cet ouvrage réédité et actualisé, augmenté de nouvelles contributions, de photographies et de témoignages inédits de près d’une vingtaine d’auteurs – dont beaucoup sont également, à leur manière, des acteurs, des militants ou des témoins – tente de prendre le sens et la mesure de la catastrophe. Théorie nouvelle de l’accident, interview de l’ex-numéro un soviétique Mikhaël Gorbatchev, réflexions sur la gestion du risque et la réhabilitation des conditions de vie, mise au point sur les conséquences sanitaires françaises, émergence d’une expertise et d’une mobilisation citoyenne constituent autant de manières d’interroger le devenir de Tchernobyl et, par conséquent celui de l’humanité à l’âge atomique.  

Galia Ackerman, Guillaume Grandazzi et Frédérick Lemarchand ont rassemblé les témoignages et analyse de : JC. Autret, B. Boussagol, P. Chevtchouk, M. David-Jougneau, M. Fernex, M. Gorbatchev, D. Grodzinski, JM. Jacquemin-Raffestin, G. Hériard-Dubreuil, H.-P. Jeudy, G. Lochak, L.Noualhat, V. Nesterenko, H. Ollagnon, V. Symaniec et A. Yarochinskaya.

 

Un dialogue enfin entre S. Alexievitch et P. Virilio.

 

Tchernobyl, conséquences en France : J'ACCUSE

Expiré

TCHERNOBYL :
Conséquences en France
J’ACCUSE !

Après avoir écrit : « Ce fameux nuage… Tchernobyl, la France contaminée » préfacé par Théodore MONOD Editions Sang de la terre), et « Tchernobyl : Aujourd’hui les français malades », préfacé par Jean-Guy TALAMONI (Editions du Rocher), Jean-Michel JACQUEMIN-RAFFESTIN persiste dans sa recherche de la vérité et sa volonté de faire éclater la vérité est démontrée dans cet ouvrage.

Aujourd’hui, seize ans après la catastrophe, on cache toujours la Vérité, on ment, on falsifie des résultats d’analyses, on continue à prendre les Français pour des veaux. Ils ont le droit de savoir à quel point ils ont été méprisés. Seul peuple d’Europe dont le gouvernement n’a prit aucune précaution sanitaires afin de réduire la contamination, par inhalation et ingestion, en iode radioactif et en césium 137, radionucléïdes provenant de la fusion nucléaire du cœur du réacteur de la centrale de Tchernobyl en Ukraine.

Les médecins savent, mais rares sont ceux qui osent parler. Les infirmières dans les hôpitaux parlent mais l’on ne leur accorde aucun crédit.

Notre système de santé est le plus centralisé au monde, si l’on voulait, on pourrait annoncer la vérité. Le registre des cancers du Haut-Rhin, région très fortement touchée par les retombées du nuage, indique une progression de 15 % des cancers tous sites confondus en 8 ans. Le cancers du foie a progressé de 225 % dans cette région ce qui accrédite les thèses du professeur biélorusse Youri Bandazhevsky et du rapport de l’ORS de Corse resté « perdu » pendant 14 ans.

C’est en 2001 que l’on reconnaît une contamination de 20.000 Bq/m2 à Vaison-la-Romaine et de 40.000 Bq/m2 à Vinsobre.

En janvier 2002, l’IPSN reconnaît que les études menées à partir de la corrélation entre la pluviosité et les retombées au sol en Corse, laissent penser que la contamination du lait avait pu s’élever jusqu’à 100.000 Bq/l en iode 131 début mai 1986.

Pourquoi cette chape de plombs pour nous cacher la vérité, si longtemps, s’il n’y a aucun risque pour la santé des Français ? Pourquoi les résultats d’analyses réalisés en mai et juin 1986 n’ont-ils pas été révélés ?

Les médias ne sont-ils pas libres contrairement à ce que l’on pense dans un pays soit-disant démocratique lorsque le lobby nucléaire est si puissant ?

Pourquoi des journalistes de certains organes nationaux qui ont fait un article sur le sujet se le voit refuser par leur directeur de rédaction : On ne parle pas de ça !

Pourquoi une radio peut donner ordre à ses journalistes de ne pas aborder le sujet.

Pourquoi des Juges peuvent subirent des pressions et des menaces. Pourquoi de nouvelles lois viennent-elles pour que les responsables ne soient pas jugés ?

Pourquoi de célèbres animateurs de télévision, complices du pouvoir ou soumis au pouvoir, refusent de présenter les livres qui traitent de la santé publique.

Pourquoi ? Parce que le peuple, il vaut mieux l’amuser que lui dire la vérité qui n’est pas forcément drôle à entendre. Déjà, à une autre époque, les empereurs romains avaient inventé les jeux du cirque pour distraire le bon peuple. Nous, après le Loto et tous ses dérivés, nous avons eu droit à Loft story…

Les médecins savent, mais rares sont ceux qui osent parler. Les infirmières dans les hôpitaux parlent mais l’on ne leur accorde aucun crédit.

Notre système de santé est le plus centralisé au monde, si l’on voulait, on pourrait annoncer la vérité. Le registre des cancers du Haut-Rhin, région très fortement touchée par les retombées du nuage, indique une progression de 15 % des cancers tous sites confondus en 8 ans. Le cancer du foie a progressé de 225 % dans cette région ce qui accrédite les thèses du professeur biélorus Youri Bandazhevsky et du rapport de l’ORS de Corse resté perdu pendant 14 ans.

Parce qu’il est temps, de dire la vérité,

Parce qu’il est temps pour les responsables de reconnaître leurs erreurs

Parce qu’il est temps de prévoir l’avenir de nos enfants,

Parce qu’il est temps d’aider ces malades qui souffrent,

 

Editions Sang de la terre. Avril 2002.

Aujourd'hui, les français malades

Expiré

TCHERNOBYL

Aujourd'hui, les Français malades

Préface Jean-Guy TALAMONI

Quinze ans après la catastrophe de Tchernobyl, des Français souffrent dans leur chair, dans leur âme et sont mutilés ? vie. Ce sont les témoignages de ces malades que vous allez découvrir dans cette enquète sans concession.

Les maladies Hashimoto qui représentaient, il y a quelques années, 1% des hyperthyroïdies, occupent aujourd'hui plus de 50% de cette pathologie. L'augmentation de ces maladies qui se réduit au Césium d'après les études du professeur biélorusse Youri Bandazhevsky a été reconnue au Japon après Hiroshima et Nagasaki, ainsi qu'en Ukraine après Tchernobyl. En France, c'est le silence total. D'autres maladies (diabète, cancer du foie, des poumons, des voies urinaires, du colon) se développent dans les régions fortement touchées par les retombées du nuage.

Le rapport de l'Observatoire Régional de la Santé de Corse l'avait annoncé des septembre 1986.
Qui sont les responsables ? Qui sont les coupables ?

Editions du Rocher. Juin 2001. 

Ce fameux nuage...

Expiré

CE  FAMEUX NUAGE... TCHERNOBYL  LA FRANCE CONTAMINÉE 

Préface Théodore Monod

Que savons nous français, concernant les retombées du nuage de Tchernobyl sur notre pays ? Peu de chose, nos technocrates du nucléaire ont eu la bonne idée d'arrêter "Ce fameux nuage ..."  sur la ligne Maginot.

Aujourd'hui, 13 ans après la catastrophe, un organisme d'État : l'Institut de Protection et de Sûreté Nucléaire reconnaît officiellement les valeurs de contamination du territoire français que la CRII-Rad annonçait dès juin 1986. Certains endroits de France comme la forêt du Boréon et le Massif du Mercantour, sont contaminés à plus de 800.000 Bq/m2 en césium 137. La zone sous haute surveillance de Tchernobyl commence à 555.000 Bq/m2. En France il s'agit de sites touristiques !

Les cancers de la thyroïde ont progressé de 9 % d'après les sources du Ministère de la Santé. Une enquête de mai 1999, réalisée par l'Union Régionale des Caisses d'Assurance Maladie annonce une augmentation très nette : 11 % par an. Le seul registre des cancers de la thyroïde qui soit exhaustif est celui de Champagne-Ardenne, il existe depuis 30 ans. La période 86-96 indique une hausse de 30% chez les femmes, de 100% chez les hommes et de 300% chez les jeunes de 12 à 19 ans.

Pourquoi le gouvernement de l'époque nous a t-il menti ? Le fait de reconnaître l'importance, ainsi que les risques de la catastrophe aurait-il conduit à remettre en cause la politique nucléaire de la France. Premier pays nucléarisé d'Europe, avec un tiers des sites nucléaires civils européens sur son territoire, il est second dans le monde, après les États-Unis.

Malgré les diverses demandes du Parlement Européen, 13 ans après, il n'y a toujours aucune volonté politique des différents gouvernements qui se sont succédé pour rechercher une possible causalité entre les maladies de la thyroïde et Tchernobyl.

Jean-Michel Jacquemin a mené pendant deux ans une enquête minutieuse sur le terrain, auprès des meilleures sources scientifiques et médicales sur la catastrophe de Tchernobyl. Il lève le voile sur les responsables, mais qui sont les coupables ?

La seconde partie de l'ouvrage consacrée aux conséquences sanitaires et écologiques dans l'ex-URSS ne manquera pas de surprendre le lecteur. Ce qui se passe se révèle bien plus catastrophique que ce qui nous avait été annoncé.

Malgré les brumes du mensonge, dans lesquelles on essaie de le noyer, "Ce fameux nuage..."  n'en finit pas de retomber.

           

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IBSN : 286985 120 0

Prix :  129 Francs - 19,67 Euros

Livres scolaires

Expiré

"Ce fameux nuage... Tchernobyl la France contaminée"

      déjà dans les livres scolaires

Reproduction avec l'aimable autorisation des Editions NATHAN

Que fait la France ?

 

"La France n'est pas épargnée, mais aucune mesure de précaution n'est prise. Sous la pression des scientifiques et d'intellectuels, la Commission de recherche et d'informations indépendante sur la radioactivité est crée. Elle demande le retrait des produits alimentaires contaminés. Il faut attendre le 10 mai pour que soit reconnue la contamination du territoire français"

"Ce fameux nuage... Tchernobyl, Sang de la terre, 1999" D'après J.-M. Jacquemin.

Dans les pays voisins de la France : des mesures de précaution

 "On conseille de garder les enfants à la maison, de ne pas arroser avec de l'eau de pluie, de bien laver les légumes, de laisser les vaches à l'étable pour ne retrouver dans le lait la radioactivité vite déposée sur les pâturages. Aux Pays-Bas et en Allemagne, on va jeter des milliers de litres de lait"

 J.-M. Jacquemin : "Ce fameux nuage... Tchernobyl, Sang de la terre, 1999" 

 Textes et méthodes (Français 3ème)